L'HISTOIRE
DE FRANCE TRUQUÉE
Pour Sauver la face de Charles DE GAULLE
Dans le règlement honteux de l'Algérie-Française
|
Extrait
du site : http://pageperso.aol.fr/ANMA981929729/1962+LEXODE.html
Page MOTIF?
Paroles cachées aux Francais
Je livre
au lecteur des citations officielles du chef de l’état, prononcées en
privé ou en comité restreint.
Ces paroles publiées ne furent jamais
contredites ou démenties.
Les ouvrages d’où elles sont tirées figurent au
chapitre « SOURCES ».
Elles montreront un autre aspect méconnu de « l’homme
providentiel ».
Les icônes comme les idoles peuvent brûler et les statues des
commandeurs sont parfois renversées. Le lecteur en tirera les conclusions qui
s’imposent… A.Martinez
---==oOo==---
Au général Allard :
"Mais enfin Allard, vous n'imaginez tout de même pas qu'un jour,
un Arabe, un musulman, puisse être l'égal d'un Français! Voyons! c'est
impensable".
"Essayez
d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d'un
moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les
Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber
dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain
quarante?
Si nous faisons l'intégration, si tous les Arabes et Berbères d'Algérie
étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir
s'installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus
élevé? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais
Colombey-les-Deux-Mosquées !"
"L'intégration,
c'est une entourloupe pour permettre que les musulmans qui sont majoritaires
en Algérie à dix contre un, se retrouvent minoritaires dans la République
française à un contre cinq. C'est un tour de passe-passe puéril! On
s'imagine qu'on pourra prendre les Algériens avec cet attrape-couillons? Avez-vous
songé que les Arabes se multiplieront
par cinq, puis par dix, pendant
que la population française restera presque stationnaire? Il Y aurait deux
cents, puis quatre cents députés arabes à Paris? Vous voyez un
président arabe à l'Elysée ?"
"Il vaut mieux une Algérie algérienne au sein de la communauté,
qu'une Algérie française au sein de la France, qui nous mettrait à plat
pour toujours !" Quant à la communauté ou autres territoires...
"On a prétendu faire des
nègres de bons Français.
C'est beau l'égalité, mais ce n'est pas à notre portée. Vouloir que toutes
les populations d'outre-mer jouissent des mêmes droits sociaux que les
métropolitains, d'un niveau de vie égal, ça voudrait dire que le nôtre
serait abaissé de moitié. Qui y est prêt ? Alors
puisque nous ne pouvons pas leur offrir l'égalité, il vaut mieux leur donner
la liberté! Bye Bye vous nous coûtez trop cher".
Le 30 novembre 56
«…. Les Noirs sont de braves bougres. Ils ne sont pas
animés par la même passion, par la même haine que les Arabes.. Il n'y a
pratiquement pas de Noirs en dehors de l'Afrique noire, alors
que le mouvement pan-arabe va bien au delà du Maghreb. Mais vous comprenez
bien que lorsque l'Afrique du Nord sera perdue, le même intérêt n'existera
plus… »
«…. Les Arabes, ce n'est
rien. Jamais on n'a vu des Arabes construire des routes, des barrages, des
usines. Après tout peut-être n'ont-ils pas besoin de routes, de barrages,
d'usines. Ce sont d'habiles politiques. Ils sont habiles comme des mendiants.
Nous assurons les fins de mois
du Maroc, prétendument pour que les Américains ne le fassent pas à notre
place. Qu'est-ce que cela pourrait bien nous faire que les Américains donnent
des crédits aux Marocains… »
« Il est impossible
d'accueillir au Palais-Bourbon cent vingt députés algériens. La Patrie
deviendrait la colonie de ses colonies.»
« Les Arabes, les Kabyles, les
Mozabites, les Juifs? « Ces gens-là ne font pas partie de notre peuple.»
Aux yeux du général de Gaulle, il ne s'agit pas de voir si
l'intégration est possible. Il s'agit de constater qu'elle n'est pas
souhaitable. »
« Voulez-vous être
bougnoulisés ? » interroge de Gaulle. Au député Raymond Dronne
«Vous, donneriez-vous votre fille à marier à un Bougnoul ? »
Au général Kœnig,:
« Evidemment, lorsque la monarchie ou l'empire réunissait à la France
l'Alsace, la Lorraine, la Franche-Comté, le Roussillon, la Savoie, le pays de
Gex ou le Comté de Nice, on restait entre Blancs, entre Européens,
entre chrétiens... Si vous allez dans un douar, vous rencontrerez tout
juste. un ancien sergent de tirailleurs, parlant mal le français.
« Et puis, Delbecque,
vous nous voyez
mélangés avec des Musulmans ? Ce sont des gens différents de nous. Vous
nous voyez mariant nos filles avec des Arabes ? »
«Les Arabes, pour détruire
les ponts, ça va. Mais pour les construire...
Avez-vous déjà vu un
Arabe construire un pont ?»
« Les Arabes n'ont jamais rien
construit, jamais un pont, jamais un port, jamais une usine, jamais un chemin
de fer. Cela n'est jamais arrivé. Il y a peu de chances pour que cela arrive
maintenant. Ils ont besoin de nous. »
---==oOo==---
|