Algerie francaise
De Gaulle logo
Page precedentePage Précédente
 
Translate
 
Forums
 
Algerie-Francaise
 
 
 

LES ORIGINES  ÉTRANGES DE LA Vème RÉPUBLIQUE
Par
André FIGUERAS
Recueilli pour le Site par Pierre Barisain-Monrose

Partie 2

FERHAT   ABBAS   FAISEUR   DE   ROI
Les Presses du Mail
17, Rue du Croissant – Paris 2ème

J'avais été mis en rapport, rue de Solférino, avec un garçon qu'en quelque sorte tout le monde chassait, auquel j'ai vu Foccart refuser de serrer la main, qui m'amusa d'abord par son bagout, puis me devint, à cause notamment du même, assez vite insupportable, au point qu'à mon tour il m'arriva de refuser de le voir davantage, et de l'expulser par la même occasion d'un groupe d'amis où il jouait an rôle bizarre.

Toute sa « force », si l'on peut ainsi dire, reposait sur le fait qu'il avait groupé autour de soi une vingtaine de jeunes peu considérables, mais qu'il avait assez bien en main. Ce presque quarteron, un peu vieilli, doit du reste constituer aujourd'hui à peu près tout l'effectif du prétendu Mouvement pour la Communauté (M.P.C.). dont le garçon en question, qui est, cliniquement par­lant, un petit irrégulier de l'hystérie (si le diagnostic ne lui plaît pas, nous demanderons une expertise médicale) se dit président. Ajoutons du reste, que ce mince personnage est, depuis très longtemps, suspecté de collu­sion avec la police, et qu'il a toutes les caractéristiques de l'agent provocateur. Du reste, M. Dauer — puisque c'est ce joli nom qu'il porte — s'est rendu insupportable à son père et à sa femme ; mais rien ne l'empêche de continuer, car il s'imagine, le pauvre être, qu'il marche vers « le pouvoir ». Le plus terrible de l'affaire est en effet qu’il n’est même pas vénal.

Comme nous étions fort voisins à une certaine époque, c'était malheureusement une raison de plus pour nous voir. C'est-à-dire qu'il passait souvent chez moi à l'improviste, et ensuite, pour le faire partir, ce n'était pas si simple.

Cependant, et bien qu'il me téléphonât en outre tous les matins, je le tolérai un certain temps, primo, parce que, contrairement à ce que l'on pourrait croire, j'ai un caractère relativement accommodant ; secondo, parce que Dauer m'amusait par ses grosses pitreries, sa grosse figures et sa grosse voix ; tertio, parce que quelque-fois, tout de même, il possédait, et m'appor­tait, il faut le dire, en toute hâte, quelques informations intéressantes. Il ne les avait d'ailleurs pas de première main, mais les tenait d'un autre personnage bizarre, relativement sympathique, dont Alex Moscovitch pré­tendait qu'il était le « chef des services secrets du généra! », et dont pour ma part, bien que je l'aie, par la suite intimement fréquenté pendant plus d’un an, je n'ai jamais pu tirer au clair la personnalité.

Il   est  certain que,   chez  ce  second  personnage,  il   y avait une propension à la mythomanie — mais il lui arrivait aussi, cela est incontestable, de savoir des choses fort importantes, et, somme toute, fort secrètes.

C'est ainsi qu'un jour Dauer m'apporta, encore tièdes comme des œufs qu'il aurait dénichés la minute d'aupa­ravant, deux nouvelles passablement étonnantes, et que je n'accueillis pas de la même manière —, à tort peut-être bien.

En  effet,  j'accordai  du  crédit,  et je  donnai  de  la publicité, à la première. La seconde, par contre, je la tins pour nulle et non avenue, et l'enfouis au plus profond de ma mémoire, où elle dormait jusqu'à l'ins­tant que voici, mais où je la sens tout juste qui se réveille, qui s'étire, qui veut se manifester.
Je crois que l'on risque de mieux comprendre l'im­portance des choses si, au lieu de livrer à mon tour ces deux informations en bloc comme elles me furent données, je les sépare au contraire, et n'énonce la se­conde qu'après avoir non seulement rapporté la pre­mière, mais encore ce qu'il advint de sa divulgation. Il n'est pas exclu, en effet, que cela conduise certains de mes lecteurs à une extrapolation que, bien entendu, je me garderai d'avoir l'audace, et même l'outrecuidance, de leur conseiller, — mais dont je n'ai pas le droit non plus de leur refuser les éléments, s'ils jugent que ceux-ci sont en germe dans mon récit.

La première information, donc, avait trait à la toute récente — elle devait dater de la veille ou de l'avant-veille —, entrevue entre Mohamed V, réinstallé frau­duleusement sur le trône chérifien grâce aux baïonnettes françaises, et le général. Il faut, je le crois, et parce qu'ici le moindre détail peut être fondamental pour les limiers politiques qui auraient le désir de rechercher le mot de l'énigme, reproduire en entier l'article suivant :

DE GAULLE AURAIT DEMANDE A BEN YOUSSEF DE  REMETTRE EN CAUSE LES  BASES U.S. AU MAROC

Bien que le colonel de Bonneval observe de façon féroce sa consigne de silence, et qu'un journaliste, même s'il est son ami, ne puisse pas arriver à le fléchir ; bien que le 5 de la rue de Solférino soit un immeuble très secret, quasi conventuel, quelques informations par­viennent cependant à traverser ses murs.

Celles que l'on recueille présentement sont très agréables. Il semble en effet que de Gaulle — qui a probablement terminé, ou à peu de choses près, la rédaction du second tome de ses Mémoires, arrive du même coup à se libérer de l'emprise presque physique du passé, sous laquelle il vivait.

Certes, le Général de Gaulle n'avait pas cessé de se tenir très au courant de l'évolution des problèmes poli­tiques, et en particulier de ce qui concerne l'Afrique du Nord, à propos de laquelle il sait tout. Mais ses visiteurs étaient parfois, avec angoisse, enclins à se de­mander si le Général ne se bornait pas ainsi à une information personnelle, sans en tirer de conséquences du côté de l'action. Le pessimisme qu'il affichait sem­blait, en effet, redoutablement définitif.

Il est vrai que de Gaulle est possédé d'une crainte qui frise chez lui l'obsession : c'est que l'on déforme sa pensée. Trop souvent il a vu la façon dont on la travestissait pour ne pas être devenu circonspect. Aussi se méfie-t-il, et n'en livre-t-il que ce qui lui convient. De la sorte, personne ne peut se réclamer de lui, et il demeure, comme il doit être, en dehors et au-dessus des querelles, c'est-à-dire, selon sa propre expression, le « recours ».

De la sorte, et ne risquant plus d'être gêné par les petites manœuvres politiciennes, de Gaulle est libre d’entreprendre.

Et justement, depuis quelques semaines, son activité est devenue intense. Certes, en tout temps, de Gaulle a toujours reçu beaucoup de visiteurs —, et de tous les horizons politiques et internationaux.

Mais ces contacts paraissent aujourd'hui dépasser très largement le cadre des rapports personnels, pour acqué­rir une signification politique et diplomatique.

On a été très discret sur l'entretien que de Gaulle a accordé à Sidi Mohamed Ben Youssef. Celui-ci n'en a, pour sa part, rien rapporté. Mais les milieux dont l'information est la plus sûre, déclarent aujourd'hui que la prise de position de Ben Youssef à l'égard des bases américaines au Maroc est la première conséquence de sa rencontre avec de Gaulle. Celui-ci, en effet, n'a jamais fait mystère de sa profonde hostilité à l'installation d’une infrastructure américaine dans les territoires français, ou sous contrôle français. L'assertion selon laquelle de Gaulle a demandé à Ben Youssef de profiter de son retour pour immédiatement remettre cette af­faire en cause est donc si vraisemblable, qu'elle eut sûrement vraie.

D'autant plus qu'elle cadre fort bien avec les informations selon lesquelles le Général aurait, en ce moment, des contacts internationaux de la plus haute importance et de la plus grande portée. Selon ce qu'on assure, ces contacts seraient particulièrement suivis non seulement avec l'U.R.S.S., la Grande-Bretagne, et les Etats-Unis, mais aussi avec les pays de la Ligue Arabe, et particulièrement l'Egypte.

Si tout cela est vrai, et quand on considère par ailleurs tout ce qui se passe de désordonné du côté des élections, on est tenté de citer ces vers de Théophile Gautier, qui ne sont pas, appliqués à la circonstance, aussi sibyllins qu'il pourrait d'abord paraître :


Tandis   qu'à   leurs   œuvres   perverses
Les hommes courent haletants,
Mars  qui rit malgré les averses
Prépare en secret le printemps
.

Passons sur le fait que j'étais, au moment où j'écrivis cela, toujours parfaitement intoxiqué. Cela n'a aucune importance. Ce qui compte, ce sont les faits énoncés, à savoir :

Accord politique avec Ben Youssef ; contacts avec la Ligue Arabe ; préparation de « de quelque chose ». Tout cela ne pouvait pas alors — parce que personne, je pense, n'était suffisamment au courant des choses —, prendre les coloris et les significations que nous sommes peut-être en mesure de lui donner aujourd'hui. Tout au moins cela ne le pouvait-il pas à l'égard des lecteurs. Mais celui qui opérait dans la pénombre, montait sa machine, et préparait de longue main ce qui devait éclater un jour, craignit sans doute qu'une maladresse ne le démasquât, car il témoigna d'une colère et d'un ressentiment sur l'heure incompréhensibles, envers le fidèle qui avait cru bien faire en écrivant ces lignes.

Ce fut, d'abord, une légère algarade venue de Bonneval : « Il ne faut pas citer mon nom de cette manière, car, plus vous dites que je ne suis pour rien dans vos informations, plus justement, le Général croit l'in­verse. »

Ce qui est, somme toute, un premier signe que les choses dites n'étaient pas si fausses ! Du reste, elles ne donnèrent lieu à aucune sorte de démenti, ni à Colombey, ni à Rabat.

A partir de ce moment-là, cependant, et pendant environ un an et demi, je me heurtai à un mur chaque fois que, rue de Solférino, je sollicitai un rendez-vous. M'en étant plaint à Dronne, celui-ci questionna le général sur l'ostracisme dont je semblai être l'objet, et s'attira la réplique suivante :

« Figueras, par son article sur le roi du Maroc, m'a beaucoup gêné dans ce que je fais. Je lui en veux, et je ne le recevrai donc pas pour l'instant. »

Lorsqu'enfin la «punition» fut levée, je fus accueilli au débotté par la précaution suivante :

« Non seulement vous ne répéterez rien de ce que je vais vous dire, mais vous ne direz même à personne que vous m'avez vu.
»


Quoique n’étant pas très susceptible de nature  — je suis ombrageux, ce qui n'est pas la même chose —, c'est peut-être la seule fois de ma vie où j'ai été vrai­ment vexé, et je sortie de la rue de Solférino avec la ferme intention de ne jamais remettre les pieds dans le bureau du généra], ce à quoi je me suis tenu malgré cet « appel du pied » de juillet 1958 que j'ai cité.

Ajoutons, pour l'amusant de la chose, que la prudence de mon interlocuteur était d'ailleurs vaine, car non seulement, au hasard des conversations, je men­tionnai cette entrevue, mais encore, deux amis à moi, embusqués dans une voiture stationnée, le long du trottoir d’en face, me virent en conversation avec le général, car c'était le soir, et les rideaux n'étant point tirés, ni les volets fermés, la lumière électrique découpait fort nettement nos deux silhouettes.

Ainsi pouvais-je, en cas de besoin, m'appuyer sur un témoignage qu'évidemment l'on n'avait pas prévu. Que voulez-vous ? Lorsqu'on se risque à fréquenter de cer­taines gens, encore convient-il de prendre, soi aussi, quelques dispositions à tout hasard.

*
*  *
*

Maintenant  que l'on a vu  en quoi consistait la pre­mière information de M. Dauer, et ce qu'il en advint, — voici la seconde, qui n’a certes, jusqu’à ce jour, jamais été écrite, dont je n’ai jamais fait qu’une vague confidence à Jean-Marie Le Pen, mais dont je crois cependant me rappeler d'une manière à peu près exacte les termes dans lesquels elle me fut fournie :

« Le patron fait en ce moment un boulot formidable. Ilest en contact avec le F.L.N., et il leur dit de tenir bon, parce qu'il estime que seule la guerre d'Algérie peut flanquer le régime en l'air, et lui permettre de revenir. »

Précisons que cette conversation avec M. Dauer s'est déroulée aux environs du 15 novembre 1955, c'est-à-dire un an tout juste après le soulèvement des Aurès, et à un moment, mon Dieu, où le F.L.N. n'apparaissait certes pas encore comme un Croquemitaine de bien haute taille. Il faut avouer que cette date, quand on y repense aujourd'hui, vous donne un frisson dans le dos...

Ainsi, les contacts avec la « Ligue Arabe », avec « l'Egypte », qu'il était si dérangeant de dévoiler, c'est en cela qu’il auraient consisté ! J’avoue qu’aujourd’hui encore mon âme simple a la plus grande peine à  croire que M. le président du Mouvement pour la Communauté avait raison. Cela parait une chose si colossale, si monstrueuse et qui obligerait à remonter, dans l’Histoire, aux temps les plus sombres de la Guerre de Cent Ans, pour y découvrir, à toute rigueur, une triste équivalence.

Pourtant, admettons un instant, uniquement à titre de curiosité, bien sûr, — l'hypothèse selon laquelle l’éminent M. Jacques Dauer aurait eu raison. Il est certain que cela serait extrêmement commode, car tout ce que nous continuons de ne pas comprendre à l'heure actuelle deviendrait limpide d’un seul coup.

Si l'on avait un pacte secret avec Ferhat Abbas : « Donnez-moi les moyens, en mettant constamment la république sur le gril, et en laissant entendre que ma présence pourrait retourner les choses, de revenir au pouvoir, — et en échange j'assurerai votre succès », cela, bien sûr, expliquerait tout de suite que l'on ait d'abord dupé les patriotes, puis qu'on les ait persécutés, pour, dans le même temps, « repêcher » à plusieurs reprises le F.L.N. alors qu'il était perdu puisque l‘armée, qui n'était évidemment pas de mèche, réussissait, malgré toutes les directives obscurément dilatoires, à lui porter de bons coups) ; cela expliquerait qu'au cours de discussions frelatées, et qui n'auraient été, alors, que de la mise en scène, on ait fait semblant de se fâcher et de se rabibocher, pour mieux amuser, ou plutôt, pour mieux lasser, l'opinion publique française, pour noyer l'opinion comme on noie un poisson, et l'amener ainsi patiemment, mais inexorablement, à un état de moindre résistance tel qu'elle finisse par se laisser aller comme une carpe vaincue qui prend loqueteuse au bout de la ligne impitoyable.

Cela expliquerait encore les bien étranges sabotages d'août 1958, et notamment l'incendie de Mourepiane, qui furent perpétrés avec une facilité enfantine, dont les auteurs, à notre connaissance, n’ont jamais été jugés, et courent aujourd'hui, sans aucun doute, en liberté ; sabotages, au surplus, beaucoup plus spectaculaires que réellement gênants, et pendant la durée desquels la R.T.F. ne cessait de répéter que le gouvernement était désarmé contre eux tant que la nouvelle constitution n'aurait pas été adoptée ! Ce qui n'avait, en matière de simple police, rigoureusement ni queue ni tête, niais vous obligeait nécessairement, de par son cynisme même, à ressasser le vieil adage raisonnable : « Is fecit cui prodest. »

Oui, il est bien évident que si l'on pouvait avoir confiance en M. Dauer, si l'on pouvait croire ce qu'il m'a dit, toute l'histoire des quatre dernières années s'illuminerait littéralement. L'acharnement néronien mis à détruire un des plus beaux morceaux de la France s'expliquerait alors par la panique de laisser découvrir la plus immonde des complicités. Car on peut bien croire que le F.L.N., si jamais il dispose d'un moyen de chantage, ne manque sûrement pas de s'en servir. Et au besoin même, obtient ainsi plus qu'il n'avait été convenu au début de l'affaire. Le procédé est clas­sique, et c'est ainsi que les choses se règlent bien souvent entre caïds.

Cela expliquerait encore pourquoi le F.L.N., à l'heure actuelle, s'en tient si fort aux termes de la capitulation signée par la France à Evian. C'est évidemment que l'O.A.S. n'avait pas été prévue dans le marché, et que, sans le secours de l'armée française, le F.L.N. laissé à lui-même serait promptement vaincu. Voilà pourquoi, alors, un nombre appréciable de « Bidasses et de « Pandores » seront tombés pour M. Ben Khedda, c'est-à-dire pour Moscou. Car derrière le G.P.R.A., per­sonne de sérieux ne peut le contester, il y a le Kremlin.

Livrer l'Algérie au F.L.N., c'est permettre à la Russie de nous tourner par le sud, et, par conséquent, d’engloutir bientôt l’Europe.

Mais qu'à cela ne tienne. Pour le plaisir intense de quelques années de règne, du reste bien agité et bien ridicule, on n'aurait même pas, s'il faut en croire M. Dauer, reculé devant cette dernière perspective. Attendu qu'après soi le déluge, et que le « cher et vieux pays » peut bien crever, pourvu qu'un petit mo­ment on ait éprouvé les délices d'en être le maître.

Cependant,   tout  cela  ne doit  pas être  sérieux.   Car c'est uniquement, je l'ai déjà dit, l'opinion de M. Dauer, et tout au plus ce que l'on peut déduire de ce qu'il a prétendu. Peut-être mon excellent confrère René Saive, qui s'est un peu intéressé — si l'on peut dire — à ce M. Dauer et à son comparse Schmittlein, sera-t-il tenté d'ajouter un peu de crédit à tout ce qui pré­cède —, mais tout le monde sait que Saive est un garçon presque aussi détestable que moi-même, et, par conséquent, les gens sérieux attendront la VIè répu­blique pour se prononcer. Attendu qu'il est beaucoup plut facile d'aller cracher sur une tombe, que de tenir tête à un potentat.

Pour ma part, je me garderai d'énoncer un jugement, car l'on me taxerait tout de suite de partialité. Pour­tant, j'avoue que j'aimerais assez connaître les faite et les raisons qui ont conduit nos soi-disant représentants à capituler à Evian. L'armée française était-elle taillée en pièces ? Etions-nous ruinés sans merci, ou M. Khrouchtchev nous avait-il menacés du doigt ? Enfin un jour ou l’autre, l’Histoire finira bien par tout savoir, et elle classera les hommes selon leurs mérites. Car voua êtes certainement d'avis, je suppose, qu'il ne faut ac­corder aucun crédit aux propos enfantins de M. le président du Mouvement pour la Communauté (vice-président, M. Schmittlein) ?

Sinon, en effet, le 13 mai serait, en fait, de « Journée des Dupes », la plus pharamineuse de l'Histoire. Il est vrai que Louis XIII n'était qu'un enfançon, un bambino, un muchacho, un kid, un yaouled, à côté du général !

===

Les Presses du Mail -17, Rue du Croissant – Paris 2ème
Achevé   d'imprimer   sur les
Presses  de   l'Imprimerie
RENARD   A    ROUBAIXen  Juillet  1962   
Dépôt légalMinistère de l'Intérieur N°  177 777 du 23-7-62
 


 
- Comite Veritas
- Alger 26 Mars 1962
- Ravin Rouge - Le Film
- le site des Bônois
- Pied-Noirs Aujourd'hui
- Association-Mostaganem
- Armand-Belvisi
- Bivouac-Legion.com
- Jean-Paul Gavino
- Le site du Clos-Salembier
- Mauvaise Graine
- Les Souffrances Secrètes
- Tenes Algerie
- Annuaire web africain
- http://mascara.p-rubira.com
- ADIMAD
- Site de Jaques Vassieux
- http://www.enfant-du-soleil.com
- Cercle algérianiste de Montpellier
- Pointe Pescade
- Jean-Pax Meffret
- Les tournants Rovigo
- l'Echo-Chons Patriotes
- Jocelyne Mas
- Coalition Harkis
- Le coin du popodoran
- http://oran1962.free.fr
- MIGDAL
- Ass. victimes du 26 Mars 1962
- Les Raisons de la colère
- Alger-Roi.fr
- Croisitour
- Dessins de Konk
- Secours de France
- Oran Cite des Jardins
- Pied noir,rapatrié

- http://coordination.cnfa.free.fr
- http://www.harkis.info
- http://www.salan.asso.fr


Copyright © 2000 - 2015 Algérie-Francaise.Org
All rights reserved. Tous droits réservés. Reproduction interdite sans la permission écrite de l'auteur.